3rd paperheart event
samedi 5 juin 2010 | 13:00 > 17:30 | 4€
@ la porte noire | rue des alexiens 67 | Brussels, Belgium
** snailhouse (canada)
www.myspace.com/snailhouse
** loïc b.o.
www.myspace.com/loicbo
** jupitter goes quattrocento
www.myspace.com/jupitterg400
** paperweight
www.myspace.com/mypaperweight
** eric in the kitchen
www.myspace.com/ericinthekitchen
** the .nude hours
www.myspace.com/thenudehours
** mycatisgreen
www.myspace.com/mycatisgreen
** he died while hunting
www.myspace.com/hediedwhilehunting
**rain|silk
www.myspace.com/rainsilk
video
came by some days ago, to make a short film/interview about JgQ.
In the same movement, it starts the new season of their monthly program MISTLICHT, and its fresh video concept.
It was also gracefully featured by the Flemish webzine POPPUNT !
Don't we like it ?
mots
¨¨ La vie sont comme des combat shoes prêtes à fouler les terres inondées de BLANCHEUR ! Je veux voir le sang à raison, et les madones éthérées chantant au ciel des CANTIQUES fusionnels. Je veux des ganglions matriciels heureux, soulevant de poussifs BLIZZARDS lézardesques et d'innombrables fantasmagorrhées. Des chimères célestes enivrées, à la queue stellaire traînant dans les NIMBES. De quoi apercevoir la FRAÎCHEUR arctique enveloppante et tonitruante. En boréales, gargantuesques harpies gentilles et épileptiques. Des Loreleis et des Corydons hurlant au fifre des désirs humains comblés. Des apocalypses diluviennes et satisfaites. Des archéoptéryx de neige, qui garnis, angora ou encore gavés de sauge, gorgés de jus de raisins SOLAIRES, se délectent de musique EXHALTÉE et d'orgues époumonés vers le Levant. Des infra-fréquences extatiques et harmonisées, de par les cors des versants suisses, des moraines, et des ubacs malicieux en ronde fleurie.
¨¨ Là encore l'épaulard se reposa et prit un roseau, qu'il tailla en forme de poire. Il entreprit de tracer un cercle oblong au sein de la CLAIRIÈRE. Il obliqua et par les 17 hexagrammes, invoqua les voilettes moirées de l'Atlante en fin de matière. Par défaut, quand il put se repaître en dindonneaux d'épeautre, il pratiqua une incision par infusion de mélopée dans le mie des mousses de l'Orénoque. S'enduisant de duvet quelconque, il arrima son onagre et amarra son bardeau. Il insémina un tarpan grotesque et s'empara des ELDORADOS, caravelles dansantes, triples croches, encore en sfumato malgré la gangrène des banquises. Par distillation il y mêla le sureau et l'églantier, le craquelin fêlé et l'amarante. Que de divins esprits s'en emparèrent et calquèrent des dénivelées karmiques par tous les Saints et Anges du Ciel ! Verdeur festoyante, glorioles immaculées ! Rejoignez vos touffues garrigues ! L'âge de l'oeuvre au cobalt a tinté !
¨¨ D'antres schistées, par les recueils de foliacées têtues et de pistils calmants. Epistolaires vacuités, persiflées corneilles. Calamine courbée et doryphores espiègles. De nombreuses et farfelues oranges organisèrent les rituels outrages en stridentes lames de l'Erythrée. Morfondons les pipelettes et korrigans pourfendus. Qu'adviennent les drolatiques échevins des Cornouailles tant et si bien. Armées armoiries en miroir, félonneries révérées, que vous oxyde la voix de l'occis! Crémaillères criminelles, professez la voie du glissant évêque. Courbes courbaturées, soyez enduites de potasse et de crème de carmin. Jésuites pensées, libérez l'orfèvre! Débardez les broderies bradées! Arabesques convulsives, en allegro cantato forte ! Trompettes de trombes. Déluges délurés ! Frelatés frelons. Que crevasse, d'un glaive en cimeterre, de dagues aiguisées, le cervidé en cervelas la servante surmenée.
¨¨ Cérumen écervelé, desservi servage, sevrage ravagé. Résonnant gré au vent, révélé grassouillet rêvant. Révérend rentre-dedans. Dante tenté très souvent. Drainé rêvassant, centré drakkar couvrant. Engrangé gargouillant, grammatique drame oeuvrant, vraisembable ornement, branle-bas bras crémant. Garnement gargouillant, gare au flan, argument. Merde au ban, ornement. Armement courant ment! Roumain champ au serpent. Darne de tranché fréquent. Fournil au bois dormant. Gestionnaire Artaban. Grez-Doiceau au tournant. Beyoncé rétribuant. Harnaché canasson d'outre-mer et plus encore tant et si bien, normandes tablatures d'étrons flambés en colombages. Jambages de colombes germinales, cousines germaines, germaniques jamborees, joûtes gerbées, loutres d'outre-tombe, routes broutées et pourtant.
¨¨ Etourdie, la mouche. Elle rappelle à la nuit ses possibilités enflées mais dit aussi à l'homme seul que des bras l'enveloppent. Déjà. À fuir comme toujours. Il est temps de balayer l'autour et de faire sécréter le parfum des choses. Sous de sombres capes, balbutie le coeur palpitant. Il hésite et s'antiféconde. Il aura cueilli le fruit, mordu le ver s'y logeant, et dansera dans une logique absurde tellement réalisée qu'il vacillera dans les carrières de l'inutile. Voile, descend, obscur, couvre mes paupières de ton huile de mer, la surface s'est investie de mon âme. Réveille-toi et va faucher la rondeur. Un geste suffira et tu ne reviendras jamais. Prospérité de la décision, de l'inéquation et de la détermination. La termination. L'aquascillon. Le tracé ondulant des fresques frissonnantes. Gourmettes d'argent portant ton nom...
------------------------
Et demain encore, fatigue et paresse se combattront dans la volonté.
¨¨ Aidan chantera dans le réveil-matin, on verra l'horreur de la surproduction fumer depuis les cheminées pétrochimiques, les boîtes se bousculeront, on fermera les yeux, on jettera son dévolu sur des tartines au fromage, on attendra 15h, on combattra l'horreur par les lignes courbes dans la tête. Elles dessineront d'autres courbes. On se dira que ce n'est pas si mal. On ira dormir. On rêvera, chancèlera, on se dira qu'il y aura mieux, on n'attendra pas. On creusera des galleries dans la tarte aux ananas et on y élèvera des rats. On dessinera des pentagrammes emmitouflés dans les champs. On se dira qu'on aurait pu faire mieux. On se dira qu'il est encore tôt. On démultipliera le temps. On vous dira de ne plus nous emmerder. On culpabilisera d'être plus à l'aise.
¨¨ On revendiquera des Dick Rivers blondinets. On mettra des sourires avec du ketchup sur des ventres de lapins blancs. On trempera des croquettes craquelantes dans les criques des croque-morts et on jouera au croquet avec des criquets. On balisera des brouhahas dans les bosquets. On embrigadera les braguettes des brics-à-bracs à Bracquegnies. On niera les barques en broquettes de grabuge en burqa. On caramélisera les raquettes de têtards en carquois de Kermit à Caracas et on gargamélisera les Carmélites karstiques en croûte de Cuba.
¨¨ On bâclera nos baclavas en cavalcades calculées et quelque peu qualifiées. Quoiqu'il en soit on courbera les cliquetis caquetants des carambars de Calcutta et caviars de calebasses sur lit de Kersauson, quels qu'ils soient. Que de croquis critiques crémeusement étriqués. Croque-en-jambes et crosse québecquoise sur corne craquée et et c'est tout Cork au crack! Korgs et cliques aux abois!
station
+ Gilles et ça dépend
Au Barapluie, à Écaussinnes (Gare)
20h - 3,5 €
http://www.lastfm.fr/event/456534
prosto do celu
with a mix of hate and hope that glow
the wish of a wall on which i could glide
down a lightened cellar where i could hide
in case they come at my door
cause resistance is the flower of fear
as the coward's promise is to dry the tears
of a world not as a fair as can be
and to break the heart of the jailor's jaws
as the magpie's vibes on the poplar's branch
in lucem proferre
dans laquelle, m'y fondant, j'ai touché un point d'évidence.
Dans les yeux, je pourrais concevoir le futur,
puisque j'y conçois l'éternité, m'y fondant.
Nos cavités réverbèrent les échos des grottes
et entrailles de la terre, des chocs de galaxies.
Plus besoin d'ouvir les yeux pour avoir la conscience du monde.
jŭvĕnīlĭtās
quoique ça commence à changer,
et ce n'est pas plus mal ;
il y a beaucoup de choses
que l'on assume mieux,
notamment le fait d'être un grand enfant.
JgQ live
rock'n'chill, salle des arcades,
place du jeu de balle, 7060 horrues (soignies)
vagus
La lune est diluée dans une masse d'eau noire qui absorbe et répercute mes vibrations en ses surfaces stratifiées. Mon âme se pose et s'étend sur le bord gelé de ce volume réceptif. Le noir rétinien de mon regard lisse plus encore la pellicule aqueuse des remous suggérés. Dans un froid supposé nous baignons la température de nos corps aux désirs variables. Les lueurs fausses accentuent les contacts qui n'auront pas lieu. Imbriquons-nous dans l'unité des éléments qui nous font oublier la certitude de nos présences spectrales dans cet été que nous ne sentons plus. Nul lieu pour absorber nos frustrations ; nous sommes les bougies qui vrillent leur(s) flamme(s) dans l'infinité de nos vies de passage. La profondeur de nos pouvoirs électriques arrangent les substances au coeur d'une valse qui vaut l'encensement et le respect des chlorophylles qui maintenant dansent sur une suite de vaguelettes descriptives...
lacustra
Nos phalanges s(')e(n)joignent puis se dissolvent entre les limites formées par les brumes des humeurs variables. Nos routes se croisent et puis s'éloignent alors que nous traversons les trames de nos cartographies(,) tissées main(s). L'époque n'est plus à la mélancolie ; c'est pourquoi les cycles décrits ne tournent pas rond. Lutte infinie et désespérée contre la gravité absurde de ce qui devrait engendrer la force centrifuge. Les rotations deviennent vertige. Nous glissons en descentes spiralées sur les barres de pompiers, déférentes pressions, pompes-pulsions. Alarmantes inflations.
La lourdeur de nos nettoyages post-incendiés.
L'absente et (cal[l]a)miteuse finesse des suites aux inondations.
Ongulaire et filandreuse, onde bâtarde.
Mouvement pluvieux, néant néanmoins.
Foules massées, amas, (o)mega-dégâts.
Angulaire vision, cubiste édition.
Obscures mentions.
Epures des mansions.
mises en garde
Sex-chops
Jeux de mots
Relatifs under _scores
Jardinage :
de broussailleuses scarifications
vertement ratissées
Vlad,
(Puissiez-vous apprécier...)
exercices de style
contre-courant
anachronismes
contrat chronologique
eins zwei drei,
lunettes noires
starting-blog
et top chrono.
Demeter, Jupiter,
brillant Kronos,
arrogant Cosmos.
gutta
fractum
de fatigues en désillusions il ne reste que la grâce.
amène-toi et défragmente mes floppy disks.
captum
played live at la Zone in Liège,
in 2002...
rubrique : on ressort
les vieux mouchoirs.
(les vieux pansements?)
>>> you to cut me, ocean wash me
infundere
i wanna be a traveller in my own apartment,
or a traveller. on process.
a friend told me it's never too late
but i feel old and i know i'm not so
i drink tea all day.
sequella
mon environnement, agréable certes
(pour autant qu'on soit très myope),
n'est qu'un étalage de faux or
et de cristal en plastique.
je répète : j'y contribue...
conceptum
je me calme en éructant les choses à plat, en silence.
no one's going over appearances,
no one's going through the many schyzophrenia fields.
everyone's standing in front of the mirror's reflections.
playing bowling with your suprextatic balls.
chimaera
we must just keep on
we know the heights
in fact we shorten the whole
we play the cards for
an unknown end
under control
of who knows
we dislocate
the third eye
boiling water
keep up when we're down
recenter
we don't know
which part of us
we leave to science
chemical child
that matrix is a bitch
who won't let us enjoy
anything without her
victimized toys
dissolved shine
unnamed factory
onirocrites
woken up in sofa
enlightened dawn chaos
4am
dressed up as fallen
you main dream
travelled holland to sweden
to get closer
then appeared in country house
bright
can you get out of my mind
as supposed to be
as told
though i can't
you haunt me and my nights
2001 self-titled e.p
jupittergoesquattrocento's
2001 self-titled e.p
is now downloadable here :::
>>> 1. deadleaves & sunsets
>>> 2. washing past
>>> 3. runaway
>>> 4. galapagos
>>> 5. -14%
_enjoy the special Walloon accent as you can ! :)
in motione
wish
i
never
loose
control
of
my
movements
anymore
i
wish
i
can
write
things
beginning
with
something
else
than
i
spes
but all i write about is dead-ends and mistakes
and i turn between my four walls
space, flesh and aether and trash
reaching the ground
wheels of kashmir
so hard to share
the words that hurt
i'd better look
for brighter days
luchthaven 14:44
luchthaven 14:44
1999 e.p lo-fi tape
>>>
>>> seas
>>> smoke makes blow
>>> used to wander
numeri
the plateau is 739 meters above the sea
and you're 5,7 meters from me
44,8° on my left
staring at the sun
150 billions meters high
my body's 36,8° C warm
and in the air 22°C
as i wish i escape from my squares
4 angles of 90° each,
my heart's beating 72 times,
quite too fast, drains 5 liters of blood per minute
but it doesn't matter,
cause the feelings bear no number.
elevator
We don't wear the same suit and i don't know which floor you reach.
I don't mean i'm better.
I don't mean i'm less synthetic.
I don't mean i'm more.
You're my elevator mate and i'm your furthest brother.
echo
natio
aesthesis
* beauty : word the most often used in modern times for referring to its contrary.
klawiatura
titulus
And what if we run from warm smiles? What is there left? Lonely walk on a black path, taken photographs, in a muddy foggy forest. Walking like no light'll remain. Saying to our painful hearts once it'll be green. The water ground draws iron reflexion. Robot jaws of a world turning faster that we're able to walk. Or maybe we've all been taught to be. Love knights and freedom fighters.
in et circa circulum
En ces cercles cérébraux j'entasse sans toujours ordonner.
J'y déverse mes noyades en mers rouges. Si loin du ressentiment quand il est mieux de voler sans cesse.
Coller à la croûte. Pesanteur de nos errances. Paysages tronqués. Vis-à-vis truqué. Pertinence du placard.
Bouillie de dépendances. Je croyais quand tu te rapproches je cours plus loin mais parfois pas et quand tu t'éloignes je reviens mais je cours plus fort. Remets la fleur. Retrouve sa place au pic du midi. Vole plus loin. Karsher invisible, kasher de kashmir. Porte-voix et simili, les portes cognent autant que nos coeurs et leurs promesses immondes d'un monde d'émeraude en choeur. Je brûle les conduits comme on grille nos cerveaux, comme on les infecte de résidus de carbone. Il pleure au-dehors d'une bruine acide, vol d'insectes fous.
Prochaine fission.
Finale mission.
vegetalis mineralis
Le règne végétal par analogie avec les courbatures de feuilles de chlorophylle et des circuits traversés par des ramifications aussi scandaleuses que les alvéoles pulmonaires ressemblent à la photosynthèse par le truchement de tout ce que nous pouvons appeler les connections et ressemblances par lesquelles je parcours des kilomètres de sève infinie par le fait de notre état végétatif plutôt mal assumé nous subissons des influences extérieures comme l'adolescent bourgeonne nonchalamment. La pousse est longue et drue comme mes idées. Tout élémentalistes que nous puissions être à l'instant nous resterons de traditionnels enfoirés intègres. Les étendues de gazon, nous les foulons du pied, venus y végéter et parler de nos racines, mais non sans trébucher dans un enchevêtrement de lianes et palmeraies créent des sentiers plutôt mal dessinés comme des générations de corne et de kératine. Ne pas avoir peur d'être une somme d'idées totalement déconnectées l'une de l'autre, et de dégager des chronologies, et des analgésies et des géodésies à travers nos synapses orientées. Je te donnerais bien du sédatif mais tu préfères du laxatif, alors je t'en prie sers-toi. Et pas moyen de parcourir la chlorophylle sans que d'innombrables racines ne viennent s'entremêler. Et nous subissons les influences, complètement martyrisés ou pétrifiés, nous rapprochons de ce plancher de pierre. Petit poucet je m'empêtre dans les carreaux des trottoirs car je manque à ma tourbe. Désembourbé, désemmelé, serai-je capable d'affronter tout ça de fait ? Et n'essaie pas d'incorporer mes volumes car ton esprit malade n'est que capable d'ingénier des parallélépipèdes qui ne rentrent pas dans mes tiroirs. Certes je n'ai pas un organigramme arborescent en tête mais quelque chose de beaucoup plus foisonnant.
eros & thanatos
THANATOS____ laissez-moi dormir drug hard early in the morning je refuse la verité pour me vautrer dans les corps crée à ma place les sentiers si j'arrive encore à admirer empoisonné de litost et fais-moi oublier que je suis là car trop de poids matérialisation mauvaise tête sans corps corps sans tête toxines trop tard petite mort renfrognement refroidissement post-coïtal irréalisation stagnation ma nature n'est combattue assistance désirs prisons unanswered telephones tête contre le plâtre os de phalange à nu j'(ac)cumule pour oublier foi en rien oublie que je suis l'homme nouveau vite longe les murs tout sauf dire bonjour estimations faussées le progrès c'est trop tard wu wei mal appliqué je me mutile a froid
zero distance
2002 zero distance e.p
issued by >>>> sundays in spring
cover by désirante
:: lyrics ::
straight lines to zero
i can hear from you by our teeth shocking and our heads vibing
uselessness of absorption time, would we hold the things ?
straight lines leading to the point zero,
in the skies the fumes vanish
but my love is still in me
raindrops keep echoing on the warmer ground
straight lines leading to the point zero
peaks are in my mouth like a broken glass
oh poor crown for a king she's my everyday queen
and the lines go round now
at least be with oxygen
storm outside as the sheeps go wild
i ask are we meant for nothing there?
do the anchors lead us deep in the water
or the soft wool beds?
accelerating the truth with a silly death
everyday beating deep inside of us
a sign of a vibing existence
at least be with oxygen
decline each brick of words
that make your thoughts a temple built
if we were free of it
we would run naked on the frosty ground
the quiet views
close to your eyes with the frozen sun
and this curbing view of any past
thanks to make me out of me
in the landscapes where sea and land meet
the world is shut i've got it in my head
the desperate us the bloody ways
the make-me-think the different views
the resigned sleep the deepest blue
the future things the best preview
the shady eyes the bitter fields
the cloudy skies the snowy land
everyone is a friend in these quiet views
and i want you in my head
drawing some flower for you now
i've never felt before
i can't explain anyone else
in the underground bitter emptiness
wind is to come to blow everything out
electric signals of the swans
communicate around
i can always remember and get no regret
in the cold paths i want myself to survive
the drenching tongues the rivers new
the reversed time the better view
the sweetest smile the written life
the always known the never felt
the sharing walls the breathing eyes
the paper side the torn apart
everyone is a friend in these quiet views
this green taste of life
revealing itself in the light
abstract and seasons and the need
of a dawn for our sakes
everyone is a friend in these quiet views
it's been a hard smoking day
sequencing blue radiates like an echo on the moon
the words get more stupid in the cold old blows
some clouds draw pines and peaks in the white sky of my brain
and as we flow you can be floating into the crowd
things keep on blinking and it reflects always
do the aim get rid of the shakes
convulsive era of return?
we can delete the sugar, breathing for burning
electronic transfers make me become artifical
silliness makes the mountains laugh at our lowerness
backyard offers me rest but the lands i ran
were all lost and dissolve
magic island
you can be kept in the squares if you want
the paper is opened for some sharing act
we're all bound to silliness but ghostly
eyes all watching and animals run wilder
streaming past through antennas
and never care to the tell
far from tradition think alone
birds unexpressive by their eyes
i can hear the horsefeet on the ground
everyday act acts in my words for corn tables
and left-apart
snow high in shoes
flowers raining up your head
you can be seen dancing alone the daylight
forgetting all this ordinary life
and crying your boredom away
decaying bricks red walls of our tears
oh this seems to be tragic in the arranged heads
the union is complete
can we feel vibrations
do you prefer squashing yourself away
magic treasure island?
livonia
preambula deambula
Tout ici-bas sera un mélange d'angoisse et de peur, de malédiction et de joies. De craintes et de procrastinations. De vitalité d'expression.
A considérer comme un recueil de prose, un déjectoire de rayons sur les jetées, une arbalette omnidirectionnelle, aux jets de tirs inoffensifs, mais virulents et potentiellement, infectants. Infestant, enfantant. Danger à celui qui croisera mon regard lors de déambulations au sein de mes lunes noires. Il n'y a qu'un pas entre le labyrinthe et le kaléidoscope.
A considérer comme des mantras tantriques, seuls signes de vies éclatées, de racines salies, d'inconscience et de perdition parfois volontaire. De sexualité castrée, de dégoût post-coïtal, de vagues d'alcool lent et le gonflement des voiles dans l'arborescence de mes vaisseaux. Termitant en ermitage, la blanche nuit, assis à regarder dans un vide sombre et cathartique. Crier vers les arbres inversant mes canaux respiratoires par translation de diapositives.
Il s'agira moins de vie contée que de rejets d'émotions entretenues, moins de journal que d'élaborations métaphoriques et de mysticisme déconnecté.
Un antre d'égocentrisme maladif qui n'entravera néanmoins jamais l'humanisme. Un carnet de voyages intérieurs, visuels, virtuels. De fornications dans le styx de mes masses cérébrales, de rédactions antidatées, d'anachronisme intemporel.
Il ne s'agira par contre plus d'immobilisme mu par la crainte d'être jugé négatif, mais d'entêtement thérapeutique et de céphalées portuaires et célestes. De retranscription de moleskines en vue d'échapper aux regards d'un monde où il est plus question de posséder la beauté* que de la contempler.
Vous trouverez dans ces proches tessitures forestières textes et sécrétions littéraires, ainsi que d'alittérales traductions dans la langue des Angles et sur une base romane. Jouissez-en et iodez-vous l'esprit de mes embruns lactés.
Mais gardez bien ceci à l'esprit : jamais vous ne vous permettrez de pomper dans la pléthore de mes réseaux synaptiques à des fins de profit pécunier ou d'une quelconque brillance métasociale. Que celui qui franchirait le pas du banditisme copiécollé sans référence dûment et correctement orthographiée périsse haché par les flammes de l'enfer, tenant par la main sa (dé)générescence. Ceci est le fruit de mes entrailles.
Je n'utiliserai que difficilement à mon propos le mot d'artiste, sauf si on me le demande, sans quoi vous auriez déjà entendu parler de moi.
Je souhaite juste encore m'appliquer à évacuer mes tensions accumulées et enfin excavées car ma vie n'a d'autre sens que le partage d'émotions et de sensations...
JUPITTER GOES QUATTROCENTO Intergalactic /IIMM,
HILLS GO 400 International /XXMM,
ENLIGHTENMENT & CHAOS .web /MMVII
Associated
x ALL RIGHTS RESERVED x
seb_k